Le chevalier du cycle et du fer, bien campé sur sa monture orange, mécanique, déambule les rues d’une cité désolée, asphaltée, parc-industrialisée. Coiffé d’un casque bruni par le soleil, muni d’un sac et de lunettes fumées, armé d’une caméra et de crayons, ses balades en apparence sans but lui révèlent les splendeurs inconnues d’une ville aveugle, manipulée, déserte…  abandonnée au profit de lointaines périphéries.

Or ce trajet mis en images équivaut à un jeu. Bientôt, ces clichés guideront les combattants d’une guerre à venir. N’ayez crainte, ça vous concernera, aussi. En attendant, regardez bien, interprétez, réfléchissez…mais surtout, contemplez.

—–> Clichés d’une balade estivale…

 

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