
« Par un sentiment d'échec permanent, la négativité perdure... » Avec ses quatre visages, ce chien rhinocéros parade d'une iridescente noirceur. Souhaitons-lui de retrouver un corps et la liberté de gambader.

À l'heure du dîner je partais seul, me réfugier sous un viaduc. En ce lieu quasi isolé, quelques plantes sauvages me rappelleraient la beauté cachée du monde...

Une ville de mon sang!
Par désir de fuir...
...les gens et leur présence, la ville et le béton.
Depuis les marges de cahiers, par le verbe « dessiner », j'imaginais trouver une destinée. Mais je n'ai trouvé que «réalité», et « travailler ». Dieu argent, je n'aurai pu t'éviter : maintenant je dois payer, par La ville de mon sang!

Avant de se laisser déshabiller, les arbres se parent de leurs plus belles couleurs. Oui, J'AIME les arbres. Joyeux automne!

Un coeur aux flammes noires s'attise en cette croix de lys. Lorsque le sang s'obscurcit de ses pensées chaque jour est un sacrifice.

C'était un rêve, une idée, un film, qui au cours des ans s'amplifierait. Obsession pour une vie heureuse : dans la marge, le mouvement se poursuit encore. En dépit des autres, du monde réel, des désirs réalistes d'un monde trop sérieux, je continue de caresser le papier, quand je peux. Les vieux dessins s'effacent, d'autres les remplacent. Les mots restent. Encore je suis là, malgré tout, avec mes faiblesses, mes échecs, mes croquis, mes ratés. Merci de votre virtuelle présence.