Les saisons perdent leur sens. L’été se confond à l’hiver, le printemps se fait attendre et on rêve d’automnes pluvieux…Le chaud du froid ou l’eau du feu on ne différencie plus. Le précis paraît nébuleux, les frontières et les cadres s’estompent. Restent les taches et les nappes, dernières traces de rêves exaucés…sur papier!
atrbreetciel

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